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Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel
Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel Venez la découvrir
Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel
Nom: Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel
Construction: Avant le VIIIe siècle
Histoire:
Elle aurait eu une première rénovation en 1076 en style roman, mais il n’y a pas de traces actuellement.
L’église fut rénovée au XIIIe, il ne reste que quelques parties vers l’avant (visibles jusqu’en 1823) et le xvie siècle pour la plus grande part. La rénovation du xixe siècle reprend tout l’avant de l’édifice et englobe la partie du XIIIe. Elle est principalement connue pour son étonnant sépulcre dû au ciseau de Ligier Richier, le célèbre sculpteur lorrain de la Renaissance.
Le sépulcre ou la mise au tombeau est réalisé entre 1554 et 1564 par Ligier Richier et qui fut installé dans le bas-côté droit par son fils. Le commanditaire en est inconnu.
Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel
Nom: Église Saint-Étienne de Saint-Mihiel
Construction: Avant le VIIIe siècle
Histoire:
Elle aurait eu une première rénovation en 1076 en style roman, mais il n’y a pas de traces actuellement.
L’église fut rénovée au XIIIe, il ne reste que quelques parties vers l’avant (visibles jusqu’en 1823) et le xvie siècle pour la plus grande part. La rénovation du xixe siècle reprend tout l’avant de l’édifice et englobe la partie du XIIIe. Elle est principalement connue pour son étonnant sépulcre dû au ciseau de Ligier Richier, le célèbre sculpteur lorrain de la Renaissance.
Le sépulcre ou la mise au tombeau est réalisé entre 1554 et 1564 par Ligier Richier et qui fut installé dans le bas-côté droit par son fils. Le commanditaire en est inconnu.
Abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel
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Abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel
Nom: Abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel
Construction: VIIIe siècle
Histoire:
En croisant les données issues de l’archéologie et des textes d’archives, on sait que trois églises se sont superposées au fil des siècles : l’édifice carolingien (VIIe–IXe), l’édifice roman (XIe siècle) et la période gothique à la fin du XIIIe siècle après un incendie où l’essentiel de l’église du chapitre des nobles dames de Saint-Pierre a été construit. La date de la consécration de l’église abbatiale romane de Remiremont varie suivant les sources et les interprétations des analystes. Un diplôme du pape Léon IX précise qu’il consacra l’église abbatiale de Remiremont le 15 octobre 1050 sous la tutelle de l’évêché de Toul et du métropolite, l’archevêque de Trèves.
Au XIIIe siècle, la nouvelle église est plus grande que la précédente. Il faut attendre la fin du XIVe siècle pour parvenir à la fin du gros de l’édifice. Comme on le voit sur le plan de l’église abbatiale ci-contre, l’édifice initial va s’étoffer de plus en plus grâce à de très nombreuses chapelles : ce sont des donations et des œuvres des chanoinesses, des clercs ou des bourgeois de la ville qui pensent à leur salut. Une seule chapelle subsiste aujourd’hui, celle de Saint-Antoine. La décoration des voûtes eut lieu au XVe siècle.
L’église actuelle est de plan basilical et elle est construite en grès. La nef à vaisseau central est flanquée de bas-côtés simples séparés de la nef centrale par 4 piliers qui, à l’origine, conduisaient à l’espace grillagé, réservé aux chanoinesses. Le transept comporte à l’ouest une tourelle recouverte d’un toit en croupe. Le vaisseau central de style gothique compte quatre travées ; il est voûté de croisées d’ogives supportées par des colonnes engagées. La nef est plutôt sobre et austère. À l’est, le chevet laisse percevoir la présence de la crypte dont seules les petites baies sont visibles au ras du sol. Les contreforts accentuent la verticalité de cet espace réservé aux chanoinesses et directement relié au palais abbatial.
« À l’ouest, le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés et donnent l’impression d’un volume unique d’une grande simplicité. L’élévation de la tour est sobre, marquée par une simplicité du décor et l’usage de l’ordre toscan. Cela contraste avec la toiture en bulbe, donnant sa silhouette si caractéristique à l’église de Remiremont. » Le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés.
Le décor du chœur est riche, réalisé en marbre et en gypse. Le chœur est surélevé et s’achève par une abside pentagonale.
Le mur sud est aveugle depuis la construction du palais abbatial.
Les verrières de l’abside racontent en neuf tableaux la vie de saint Romaric. Les vitraux des bas-côtés représentent la Passion du Christ jusqu’à la Résurrection. Les deux saints fondateurs du monastère masculin du Saint-Mont, Amé et Romaric, sont représentés dans la grande rosace du pignon sud du transept.
Abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel
Nom: Abbaye Saint-Michel de Saint-Mihiel
Construction: VIIIe siècle
Histoire:
En croisant les données issues de l’archéologie et des textes d’archives, on sait que trois églises se sont superposées au fil des siècles : l’édifice carolingien (VIIe–IXe), l’édifice roman (XIe siècle) et la période gothique à la fin du XIIIe siècle après un incendie où l’essentiel de l’église du chapitre des nobles dames de Saint-Pierre a été construit. La date de la consécration de l’église abbatiale romane de Remiremont varie suivant les sources et les interprétations des analystes. Un diplôme du pape Léon IX précise qu’il consacra l’église abbatiale de Remiremont le 15 octobre 1050 sous la tutelle de l’évêché de Toul et du métropolite, l’archevêque de Trèves.
Au XIIIe siècle, la nouvelle église est plus grande que la précédente. Il faut attendre la fin du XIVe siècle pour parvenir à la fin du gros de l’édifice. Comme on le voit sur le plan de l’église abbatiale ci-contre, l’édifice initial va s’étoffer de plus en plus grâce à de très nombreuses chapelles : ce sont des donations et des œuvres des chanoinesses, des clercs ou des bourgeois de la ville qui pensent à leur salut. Une seule chapelle subsiste aujourd’hui, celle de Saint-Antoine. La décoration des voûtes eut lieu au XVe siècle.
L’église actuelle est de plan basilical et elle est construite en grès. La nef à vaisseau central est flanquée de bas-côtés simples séparés de la nef centrale par 4 piliers qui, à l’origine, conduisaient à l’espace grillagé, réservé aux chanoinesses. Le transept comporte à l’ouest une tourelle recouverte d’un toit en croupe. Le vaisseau central de style gothique compte quatre travées ; il est voûté de croisées d’ogives supportées par des colonnes engagées. La nef est plutôt sobre et austère. À l’est, le chevet laisse percevoir la présence de la crypte dont seules les petites baies sont visibles au ras du sol. Les contreforts accentuent la verticalité de cet espace réservé aux chanoinesses et directement relié au palais abbatial.
« À l’ouest, le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés et donnent l’impression d’un volume unique d’une grande simplicité. L’élévation de la tour est sobre, marquée par une simplicité du décor et l’usage de l’ordre toscan. Cela contraste avec la toiture en bulbe, donnant sa silhouette si caractéristique à l’église de Remiremont. » Le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés.
Le décor du chœur est riche, réalisé en marbre et en gypse. Le chœur est surélevé et s’achève par une abside pentagonale.
Le mur sud est aveugle depuis la construction du palais abbatial.
Les verrières de l’abside racontent en neuf tableaux la vie de saint Romaric. Les vitraux des bas-côtés représentent la Passion du Christ jusqu’à la Résurrection. Les deux saints fondateurs du monastère masculin du Saint-Mont, Amé et Romaric, sont représentés dans la grande rosace du pignon sud du transept.
Église abbatiale Saint-Pierre de Remiremont
Église abbatiale Saint-Pierre de Remiremont Venez la découvrir
Église abbatiale Saint-Pierre de Remiremont
Nom: Église abbatiale Saint-Pierre de Remiremont
Construction: 620
Histoire:
En croisant les données issues de l’archéologie et des textes d’archives, on sait que trois églises se sont superposées au fil des siècles : l’édifice carolingien (VIIe–IXe), l’édifice roman (XIe siècle) et la période gothique à la fin du XIIIe siècle après un incendie où l’essentiel de l’église du chapitre des nobles dames de Saint-Pierre a été construit. La date de la consécration de l’église abbatiale romane de Remiremont varie suivant les sources et les interprétations des analystes. Un diplôme du pape Léon IX précise qu’il consacra l’église abbatiale de Remiremont le 15 octobre 1050 sous la tutelle de l’évêché de Toul et du métropolite, l’archevêque de Trèves.
Au XIIIe siècle, la nouvelle église est plus grande que la précédente. Il faut attendre la fin du XIVe siècle pour parvenir à la fin du gros de l’édifice. Comme on le voit sur le plan de l’église abbatiale ci-contre, l’édifice initial va s’étoffer de plus en plus grâce à de très nombreuses chapelles : ce sont des donations et des œuvres des chanoinesses, des clercs ou des bourgeois de la ville qui pensent à leur salut. Une seule chapelle subsiste aujourd’hui, celle de Saint-Antoine. La décoration des voûtes eut lieu au XVe siècle.
L’église actuelle est de plan basilical et elle est construite en grès. La nef à vaisseau central est flanquée de bas-côtés simples séparés de la nef centrale par 4 piliers qui, à l’origine, conduisaient à l’espace grillagé, réservé aux chanoinesses. Le transept comporte à l’ouest une tourelle recouverte d’un toit en croupe. Le vaisseau central de style gothique compte quatre travées ; il est voûté de croisées d’ogives supportées par des colonnes engagées. La nef est plutôt sobre et austère. À l’est, le chevet laisse percevoir la présence de la crypte dont seules les petites baies sont visibles au ras du sol. Les contreforts accentuent la verticalité de cet espace réservé aux chanoinesses et directement relié au palais abbatial.
« À l’ouest, le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés et donnent l’impression d’un volume unique d’une grande simplicité. L’élévation de la tour est sobre, marquée par une simplicité du décor et l’usage de l’ordre toscan. Cela contraste avec la toiture en bulbe, donnant sa silhouette si caractéristique à l’église de Remiremont. » Le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés.
Le décor du chœur est riche, réalisé en marbre et en gypse. Le chœur est surélevé et s’achève par une abside pentagonale.
Le mur sud est aveugle depuis la construction du palais abbatial.
Les verrières de l’abside racontent en neuf tableaux la vie de saint Romaric. Les vitraux des bas-côtés représentent la Passion du Christ jusqu’à la Résurrection. Les deux saints fondateurs du monastère masculin du Saint-Mont, Amé et Romaric, sont représentés dans la grande rosace du pignon sud du transept.
Église abbatiale Saint-Pierre de Remiremont
Nom: Église abbatiale Saint-Pierre de Remiremont
Construction: 620
Histoire:
En croisant les données issues de l’archéologie et des textes d’archives, on sait que trois églises se sont superposées au fil des siècles : l’édifice carolingien (VIIe–IXe), l’édifice roman (XIe siècle) et la période gothique à la fin du XIIIe siècle après un incendie où l’essentiel de l’église du chapitre des nobles dames de Saint-Pierre a été construit. La date de la consécration de l’église abbatiale romane de Remiremont varie suivant les sources et les interprétations des analystes. Un diplôme du pape Léon IX précise qu’il consacra l’église abbatiale de Remiremont le 15 octobre 1050 sous la tutelle de l’évêché de Toul et du métropolite, l’archevêque de Trèves.
Au XIIIe siècle, la nouvelle église est plus grande que la précédente. Il faut attendre la fin du XIVe siècle pour parvenir à la fin du gros de l’édifice. Comme on le voit sur le plan de l’église abbatiale ci-contre, l’édifice initial va s’étoffer de plus en plus grâce à de très nombreuses chapelles : ce sont des donations et des œuvres des chanoinesses, des clercs ou des bourgeois de la ville qui pensent à leur salut. Une seule chapelle subsiste aujourd’hui, celle de Saint-Antoine. La décoration des voûtes eut lieu au XVe siècle.
L’église actuelle est de plan basilical et elle est construite en grès. La nef à vaisseau central est flanquée de bas-côtés simples séparés de la nef centrale par 4 piliers qui, à l’origine, conduisaient à l’espace grillagé, réservé aux chanoinesses. Le transept comporte à l’ouest une tourelle recouverte d’un toit en croupe. Le vaisseau central de style gothique compte quatre travées ; il est voûté de croisées d’ogives supportées par des colonnes engagées. La nef est plutôt sobre et austère. À l’est, le chevet laisse percevoir la présence de la crypte dont seules les petites baies sont visibles au ras du sol. Les contreforts accentuent la verticalité de cet espace réservé aux chanoinesses et directement relié au palais abbatial.
« À l’ouest, le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés et donnent l’impression d’un volume unique d’une grande simplicité. L’élévation de la tour est sobre, marquée par une simplicité du décor et l’usage de l’ordre toscan. Cela contraste avec la toiture en bulbe, donnant sa silhouette si caractéristique à l’église de Remiremont. » Le clocher-porche est flanqué d’édicules couverts de croupe qui prolongent les bas-côtés.
Le décor du chœur est riche, réalisé en marbre et en gypse. Le chœur est surélevé et s’achève par une abside pentagonale.
Le mur sud est aveugle depuis la construction du palais abbatial.
Les verrières de l’abside racontent en neuf tableaux la vie de saint Romaric. Les vitraux des bas-côtés représentent la Passion du Christ jusqu’à la Résurrection. Les deux saints fondateurs du monastère masculin du Saint-Mont, Amé et Romaric, sont représentés dans la grande rosace du pignon sud du transept.
Église Saint Genest de Novéant-sur-Moselle
Église Saint Genest de Novéant-sur-Moselle Venez la découvrir
Église Saint Genest de Novéant-sur-Moselle
Nom:Église Saint Genest de Novéant-sur-Moselle
Construction: 1850
Histoire:
Christ de pitié du XVIe, fonts baptismaux 1698 ; orgue XIXe siècle.
Église Saint Genest de Novéant-sur-Moselle
Nom: Église Saint Genest de Novéant-sur-Moselle
Construction: 1850
Histoire:
Christ de pitié du XVIe, fonts baptismaux 1698 ; orgue XIXe siècle.
Église Saint Pierre Apôtre de Moulins-lès-Metz
Église Saint Pierre Apôtre de Moulins-lès-Metz Venez la découvrir
Église Saint Pierre Apôtre de Moulins-lès-Metz
Nom: Église Saint Pierre Apôtre de Moulins-lès-Metz
Construction: 1730
Histoire:
l’église paroissiale Saint-Pierre-Apôtre se trouve à son emplacement actuel depuis sa fondation. Fondation qui remonte à l’époque romane. Elle subira, au cours des siècles, deux transformations, mais ne sera jamais détruite.
Cette indestructibilité, elle la doit à sa position. En effet, elle se trouve à l’intérieur des remparts de la forteresse qui défendait le vieux pont.
Tout d’abord, l’orientation de l’église, qui est conforme à celle préconisée par saint Thomas d’Aquin : « Il est convenable que nous adorions, le visage tourné vers l’Orient ». L’église paroissiale se trouve dans un axe est-ouest. Elle possède, en outre, deux entrées : celle du clergé et celle des fidèles. Son orientation ainsi que ses deux entrées sont considérées comme une caractéristique de l’art de construire à l’époque romane ou préromane.
La consultation des fonds de l’Évêché, aux Archives départementales, permet de trouver une copie du procès-verbal de visite de l’église paroissiale de Moulins, déposé au greffe de la Chambre épiscopale de Metz – visite effectuée le 20 avril 1752 par Daniel Henry Maujean, prêtre-curé de Sainte-Croix de la ville de Metz –, ainsi qu’un plan pour la reconstruction de l’édifice réalisé par l’architecte Grandjean et paraphé par les maire et les gens de justice de Moulins, le 2 avril 1752.
La lecture, l’étude et l’analyse de ces documents permettent de découvrir : une nef de type basilical (une nef terminée par un sanctuaire en cul-de-four) ; un collatéral à droite et un collatéral à gauche, qui se terminent, comme le sanctuaire, par un cul-de-four ; une église ne pouvant contenir que 79 personnes alors que la population en âge d’assister à la messe s’élevait à 309 personnes. Ce manque de place nécessite, au cours de l’année 1754, une transformation du monument. Le chevet roman disparaît ainsi que les piliers de la nef. Seuls subsistent, à l’intérieur, les deux piliers carrés soutenant le clocher. L’architecte supprime également, sur la façade septentrionale, la porte dérobée donnant accès au presbytère. Les façades méridionale et occidentale restent en l’état. Cette restauration confère à l’édifice la caractéristique d’une église-grange telle que nous la connaissons aujourd’hui.
La seconde transformation remonte à 1921. Elle entraîne la suppression du clocher, au milieu de la façade occidentale, et des deux piliers de soutènement, à l’intérieur de l’église. La disparition de ces derniers rend possible l’érection d’une tribune. Quant au nouveau clocher, il prend place à l’extérieur, sur le flanc droit.
Terminons par quelques curiosités pour les amateurs d’art sacré : les autels de saint Joseph et de la Vierge Marie ainsi que le maître-autel, en place depuis 1767, proviennent de l’église Notre-Dame de Metz. Tous les vitraux du collatéral droit et trois vitraux du collatéral gauche datent de 1954 et retracent la vie de saint Pierre ; ils sont l’œuvre d’un artiste hongrois, Lehoczky György, réfugié politique. Ceux du chevet, dessinés par Gérard Thon, professeur aux Beaux-Arts de Nancy, et réalisés par l’Atelier 54, représentent les Disciples d’Emmaüs , le Sacré-Cœur, la Multiplication des pains. Le dernier vitrail du collatéral gauche met en scène l’écusson de Moulins, le vieux pont, le château Fabert et l’église. Les épitaphes, scellées dans le mur, rappellent que l’ancien cimetière entourait une partie de l’édifice religieux.
En conclusion, il est possible d’affirmer que l’église Saint-Pierre-Apôtre de Moulins-Centre est une église de l’époque romane, nullement répertoriée.
Église Saint Pierre Apôtre de Moulins-lès-Metz
Nom: Église Saint Pierre Apôtre de Moulins-lès-Metz
Construction: 1730
Histoire:
l’église paroissiale Saint-Pierre-Apôtre se trouve à son emplacement actuel depuis sa fondation. Fondation qui remonte à l’époque romane. Elle subira, au cours des siècles, deux transformations, mais ne sera jamais détruite.
Cette indestructibilité, elle la doit à sa position. En effet, elle se trouve à l’intérieur des remparts de la forteresse qui défendait le vieux pont.
Tout d’abord, l’orientation de l’église, qui est conforme à celle préconisée par saint Thomas d’Aquin : « Il est convenable que nous adorions, le visage tourné vers l’Orient ». L’église paroissiale se trouve dans un axe est-ouest. Elle possède, en outre, deux entrées : celle du clergé et celle des fidèles. Son orientation ainsi que ses deux entrées sont considérées comme une caractéristique de l’art de construire à l’époque romane ou préromane.
La consultation des fonds de l’Évêché, aux Archives départementales, permet de trouver une copie du procès-verbal de visite de l’église paroissiale de Moulins, déposé au greffe de la Chambre épiscopale de Metz – visite effectuée le 20 avril 1752 par Daniel Henry Maujean, prêtre-curé de Sainte-Croix de la ville de Metz –, ainsi qu’un plan pour la reconstruction de l’édifice réalisé par l’architecte Grandjean et paraphé par les maire et les gens de justice de Moulins, le 2 avril 1752.
La lecture, l’étude et l’analyse de ces documents permettent de découvrir : une nef de type basilical (une nef terminée par un sanctuaire en cul-de-four) ; un collatéral à droite et un collatéral à gauche, qui se terminent, comme le sanctuaire, par un cul-de-four ; une église ne pouvant contenir que 79 personnes alors que la population en âge d’assister à la messe s’élevait à 309 personnes. Ce manque de place nécessite, au cours de l’année 1754, une transformation du monument. Le chevet roman disparaît ainsi que les piliers de la nef. Seuls subsistent, à l’intérieur, les deux piliers carrés soutenant le clocher. L’architecte supprime également, sur la façade septentrionale, la porte dérobée donnant accès au presbytère. Les façades méridionale et occidentale restent en l’état. Cette restauration confère à l’édifice la caractéristique d’une église-grange telle que nous la connaissons aujourd’hui.
La seconde transformation remonte à 1921. Elle entraîne la suppression du clocher, au milieu de la façade occidentale, et des deux piliers de soutènement, à l’intérieur de l’église. La disparition de ces derniers rend possible l’érection d’une tribune. Quant au nouveau clocher, il prend place à l’extérieur, sur le flanc droit.
Terminons par quelques curiosités pour les amateurs d’art sacré : les autels de saint Joseph et de la Vierge Marie ainsi que le maître-autel, en place depuis 1767, proviennent de l’église Notre-Dame de Metz. Tous les vitraux du collatéral droit et trois vitraux du collatéral gauche datent de 1954 et retracent la vie de saint Pierre ; ils sont l’œuvre d’un artiste hongrois, Lehoczky György, réfugié politique. Ceux du chevet, dessinés par Gérard Thon, professeur aux Beaux-Arts de Nancy, et réalisés par l’Atelier 54, représentent les Disciples d’Emmaüs , le Sacré-Cœur, la Multiplication des pains. Le dernier vitrail du collatéral gauche met en scène l’écusson de Moulins, le vieux pont, le château Fabert et l’église. Les épitaphes, scellées dans le mur, rappellent que l’ancien cimetière entourait une partie de l’édifice religieux.
En conclusion, il est possible d’affirmer que l’église Saint-Pierre-Apôtre de Moulins-Centre est une église de l’époque romane, nullement répertoriée.
Église Saint-Brice de Marly
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Église Saint-Brice de Marly
Nom: Église Saint-Brice de Marly
Construction: XIXe siècle
Histoire:
L’église fut construite au xixe siècle. Elle fut consacrée le 17 octobre 1862 par Mgr Dupont des Loges, évêque de Metz. Elle fut bombardée en 1944 par les Américains. En effet, ces derniers soupçonnaient le clocher d’être un point d’observation pour les Allemands.
Le buffet Voit, d’un style néo-gothique, date de 1904 et a été préservé du bombardement de 1944. La partie instrumentale a entièrement été refaite en 1954 par la manufacture d’orgue Haerpfer-Erman basée à Boulay-Moselle. L’orgue est doté d’une transmission électrique. Les claviers manuels ont 54 notes et le pédalier 30 notes.
Église Saint-Brice de Marly
Nom: Église Saint-Brice de Marly
Construction: XIXe siècle
Histoire:
L’église fut construite au xixe siècle. Elle fut consacrée le 17 octobre 1862 par Mgr Dupont des Loges, évêque de Metz. Elle fut bombardée en 1944 par les Américains. En effet, ces derniers soupçonnaient le clocher d’être un point d’observation pour les Allemands.
Le buffet Voit, d’un style néo-gothique, date de 1904 et a été préservé du bombardement de 1944. La partie instrumentale a entièrement été refaite en 1954 par la manufacture d’orgue Haerpfer-Erman basée à Boulay-Moselle. L’orgue est doté d’une transmission électrique. Les claviers manuels ont 54 notes et le pédalier 30 notes.
Église Saint Joseph d’Amnéville
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Église Saint Joseph d'Amnéville
Nom: Église Saint Joseph d’Amnéville
Construction: 1929
Histoire:
Église Saint Joseph d'Amnéville
Nom: Église Saint Joseph d’Amnéville
Construction: 1929
Histoire:
Église Saint Remy de Thiaucourt
Église Saint Remy de Thiaucourt Venez la découvrir
Église Saint Remy de Thiaucourt
Nom: Église Saint Remy de Thiaucourt
Construction: reconstruite après 1918
Histoire:
Le plus remarquable est le clocher-porche avec ses 3 ouvertures en plein cintre au niveau inférieur.
Ces arcs s’appuient sur des colonnes doriques et sont ornés d’entrelacs surmontés de modillons; ces frises courent tout autour du porche.
Le clocher carré, au dessus de longues baies verticales, a des abat-sons trigéminés au dessus des cadrans d’horloge et se termine par une corniche incurvée finement sculptée.
Enfin une flèche somme une petite coupole polygonale et se termine par le coq.
Enfin, outre le chevet polygonal classique, deux petites chapelles semi-octogonales au toit en dôme s’ouvrent, sous un oculus, sur la première travée.
Rue Carnot à côté de la Mairie.
Église Saint Remy de Thiaucourt
Nom: Église Saint Remy de Thiaucourt
Construction: reconstruite après 1918
Histoire:
Le plus remarquable est le clocher-porche avec ses 3 ouvertures en plein cintre au niveau inférieur.
Ces arcs s’appuient sur des colonnes doriques et sont ornés d’entrelacs surmontés de modillons; ces frises courent tout autour du porche.
Le clocher carré, au dessus de longues baies verticales, a des abat-sons trigéminés au dessus des cadrans d’horloge et se termine par une corniche incurvée finement sculptée.
Enfin une flèche somme une petite coupole polygonale et se termine par le coq.
Enfin, outre le chevet polygonal classique, deux petites chapelles semi-octogonales au toit en dôme s’ouvrent, sous un oculus, sur la première travée.
Rue Carnot à côté de la Mairie.
Église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle
Église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle Venez la découvrir
Église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle
Nom: Église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle
Construction: XVe siècle
Histoire:
L’église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle, classée Monument Historique depuis 1920, est l’une des 254 églises lorraines dédiées à saint Martin, évêque de Tours au IVe siècle.
C’est un édifice de petites dimensions de style « gothique flamboyant » qui peut être classé dans le groupe « églises halles ». Ce type d’architecture à espace intérieur unifié se retrouve comme à Pagny, dans les églises de Saint-Etienne de Bar-le-Duc et Saint-Mihiel, Saint-Laurent de Pont-à-Mousson, ainsi qu’à Saint-Privat, Vittel, Nomeny, Vézelise, Charme, Châtel, Rambervillers, Bonnet, etc.
Comme beaucoup de ces églises, elle est orientée Est/Ouest, le chœur étant à l’Est, et présente les caractéristiques suivantes :
Les voûtes du chœur comportent des nervures en saillies (liernes et tiercerons) qui pénètrent dans les fûts de piliers monocylindriques sans chapiteau.
Même aspect de la nef et des bas-côtés ou collatéraux à peu près de même hauteur que celle de la nef.
Les fenêtres sont hautes, divisées en deux parties par les meneaux sous de fins réseaux de lobes et de trèfles.
Le chœur polygonal et la travée d’avant-chœur sont couverts de tuiles plates, le clocher d’ardoises, alors que la nef de trois travées et les bas-côtés sont couverts de tuiles mécaniques.
On ne connaît les noms ni des architectes, ni des maîtres maçons ou autres compagnons à qui nous devons la construction de l’église Saint-Martin. On ignore également les dates de commencement et de finition des travaux, de sa bénédiction et de son ouverture au culte.
Force est donc de nous remettre aux spécialistes de l’art religieux pour déterminer l’âge de ce sanctuaire.
D’après le rapport de l’architecte en chef des Monuments historiques pour le département de Meurthe et Moselle transmis le 28 octobre 1919 au Ministère des Beaux-arts et conservé actuellement au Ministère de la Culture à Paris, l’église de Pagny peut être classée parmi les édifices religieux construits au XVe siècle. Le dictionnaire des églises d’Alsace, de Lorraine et de Franche Comté (édition Robert Laffont 1969) retient la période de fin XVe siècle.
Église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle
Nom: Église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle
Construction: XVe siècle
Histoire:
L’église Saint-Martin de Pagny-sur-Moselle, classée Monument Historique depuis 1920, est l’une des 254 églises lorraines dédiées à saint Martin, évêque de Tours au IVe siècle.
C’est un édifice de petites dimensions de style « gothique flamboyant » qui peut être classé dans le groupe « églises halles ». Ce type d’architecture à espace intérieur unifié se retrouve comme à Pagny, dans les églises de Saint-Etienne de Bar-le-Duc et Saint-Mihiel, Saint-Laurent de Pont-à-Mousson, ainsi qu’à Saint-Privat, Vittel, Nomeny, Vézelise, Charme, Châtel, Rambervillers, Bonnet, etc.
Comme beaucoup de ces églises, elle est orientée Est/Ouest, le chœur étant à l’Est, et présente les caractéristiques suivantes :
Les voûtes du chœur comportent des nervures en saillies (liernes et tiercerons) qui pénètrent dans les fûts de piliers monocylindriques sans chapiteau.
Même aspect de la nef et des bas-côtés ou collatéraux à peu près de même hauteur que celle de la nef.
Les fenêtres sont hautes, divisées en deux parties par les meneaux sous de fins réseaux de lobes et de trèfles.
Le chœur polygonal et la travée d’avant-chœur sont couverts de tuiles plates, le clocher d’ardoises, alors que la nef de trois travées et les bas-côtés sont couverts de tuiles mécaniques.
On ne connaît les noms ni des architectes, ni des maîtres maçons ou autres compagnons à qui nous devons la construction de l’église Saint-Martin. On ignore également les dates de commencement et de finition des travaux, de sa bénédiction et de son ouverture au culte.
Force est donc de nous remettre aux spécialistes de l’art religieux pour déterminer l’âge de ce sanctuaire.
D’après le rapport de l’architecte en chef des Monuments historiques pour le département de Meurthe et Moselle transmis le 28 octobre 1919 au Ministère des Beaux-arts et conservé actuellement au Ministère de la Culture à Paris, l’église de Pagny peut être classée parmi les édifices religieux construits au XVe siècle. Le dictionnaire des églises d’Alsace, de Lorraine et de Franche Comté (édition Robert Laffont 1969) retient la période de fin XVe siècle.