Chapelle Notre Dame de la Salette de Vany Venez la découvrir

Chapelle Notre Dame de la Salette de Vany

Nom: Chapelle Notre Dame de la Salette de Vany
Construction: Début 1868

Histoire:

Elle fut érigée en 1868 et bénie par l’Evêque de Metz la même année.
Pendant la guerre de 1870, prise entre deux feux pendant le blocus de Metz, la porte et les vitraux furent criblés de balles.

A l’entrée de la chapelle, la statue de Notre Dame de La Salette et les deux enfants.

En face de la chapelle, la vierge en pleurs, sous des vitraux colorés : en souvenir de « la belle dame » qui est apparue à Mélanie et Maximin à La Salette-Fallavaux.

A l’extérieur de la chapelle, à gauche, le calvaire dédié à l’abbé Haro (1871-1911) et à l’abbé Anatole Basselin (1852-1926) où sont sculptés les éléments de la crucifixion et qui porte l’inscription « Ô Crux ave, spes unica », « Salut ô Croix, unique espérance. »

Le texte complet de la strophe, extraite de l’hymne à la Croix intitulé « Vexilla Regis », composé au VIe siècle par Venance Fortunat, évêque de Poitiers et poète chrétien.

« Ô Crux ave, spes unica / Hoc Passiónis tempore / Auge piis justítiam, / Reísque dona veniam » peut se traduire ainsi : « Salut ô Croix, unique espérance. En ces temps difficiles [de Passion], augmente la droiture des gens de bien et accorde le pardon aux pécheurs ».

Chapelle Notre Dame de la Salette de Vany

Nom: Chapelle Notre Dame de la Salette de Vany
Construction: Début 1868

Histoire:

Elle fut érigée en 1868 et bénie par l’Evêque de Metz la même année.
Pendant la guerre de 1870, prise entre deux feux pendant le blocus de Metz, la porte et les vitraux furent criblés de balles.

A l’entrée de la chapelle, la statue de Notre Dame de La Salette et les deux enfants.

En face de la chapelle, la vierge en pleurs, sous des vitraux colorés : en souvenir de « la belle dame » qui est apparue à Mélanie et Maximin à La Salette-Fallavaux.

A l’extérieur de la chapelle, à gauche, le calvaire dédié à l’abbé Haro (1871-1911) et à l’abbé Anatole Basselin (1852-1926) où sont sculptés les éléments de la crucifixion et qui porte l’inscription « Ô Crux ave, spes unica », « Salut ô Croix, unique espérance. »

Le texte complet de la strophe, extraite de l’hymne à la Croix intitulé « Vexilla Regis », composé au VIe siècle par Venance Fortunat, évêque de Poitiers et poète chrétien.

« Ô Crux ave, spes unica / Hoc Passiónis tempore / Auge piis justítiam, / Reísque dona veniam » peut se traduire ainsi : « Salut ô Croix, unique espérance. En ces temps difficiles [de Passion], augmente la droiture des gens de bien et accorde le pardon aux pécheurs ».