Église Sainte Thérèse de l'enfant Jésus de Villers lès Nancy Venez la découvrir
Église Sainte Thérèse de l'enfant Jésus de Villers lès Nancy
Histoire:
L’église est au cœur du parc du Placieux, le lotissement le plus ambitieux de l’entre-deux-guerres dans l’agglomération nancéienne.
Dès 1927, l’évêché de Nancy souhaite créer une quinzième paroisse dédiée à sainte Thérèse avec, pour centre, une cité ecclésiastique au Placieux. On prévoit la plus grande église de l’agglomération mais aussi un presbytère, une école religieuse (vite abandonnée), une salle d’œuvre, puis une maison de repos pour les prêtres âgés.
Jules Criqui est naturellement choisi pour dessiner cet ensemble puisqu’il est l’architecte de l’évêché de Nancy.
La construction commence en 1930, financée par souscription. Mais la crise économique assèche les dons et, de plus, l’évêché préfère se consacrer à la construction de l’imposant Grand Séminaire de l’Asnée, commencé en 1934. Cette même année, le chantier de l’église s’interrompt ; la nef est fermée par un mur de brique tandis que le portail et le clocher sont à peine ébauchés.
Des travaux complémentaires, inachevés eux aussi, de l’architecte Maurice Baier, ont eu lieu dans les années 1970 pour donner une nouvelle façade à l’église et reprendre le clocher.
Église Sainte Thérèse de l'enfant Jésus de Villers lès Nancy
Histoire:
L’église est au cœur du parc du Placieux, le lotissement le plus ambitieux de l’entre-deux-guerres dans l’agglomération nancéienne.
Dès 1927, l’évêché de Nancy souhaite créer une quinzième paroisse dédiée à sainte Thérèse avec, pour centre, une cité ecclésiastique au Placieux. On prévoit la plus grande église de l’agglomération mais aussi un presbytère, une école religieuse (vite abandonnée), une salle d’œuvre, puis une maison de repos pour les prêtres âgés.
Jules Criqui est naturellement choisi pour dessiner cet ensemble puisqu’il est l’architecte de l’évêché de Nancy.
La construction commence en 1930, financée par souscription. Mais la crise économique assèche les dons et, de plus, l’évêché préfère se consacrer à la construction de l’imposant Grand Séminaire de l’Asnée, commencé en 1934. Cette même année, le chantier de l’église s’interrompt ; la nef est fermée par un mur de brique tandis que le portail et le clocher sont à peine ébauchés.
Des travaux complémentaires, inachevés eux aussi, de l’architecte Maurice Baier, ont eu lieu dans les années 1970 pour donner une nouvelle façade à l’église et reprendre le clocher.