Église Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus de Metz Venez la découvrir

Église Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus de Metz

Nom:  Église Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus de Metz
Construction: Début 1938 fin 1954
Histoire: Les travaux commencent en mai 1938. Le nouvel évêque de Metz, Joseph-Jean Heintz, bénit la première pierre le 9 octobre 1938. En avril 1939, les fondations de la nef sont achevées, mais la guerre interrompt le chantier de construction. Metz est d’autorité devenue une ville du Troisième Reich. Devant ce chantier inachevé, les autorités nazies projettent de démolir les parties basses, en béton armé, déjà coulées et laissées en attente. Le projet reste sans suite. Metz redevenue Française, les travaux reprennent en 1947, sous la conduite de Roger-Henri Expert. Les travaux de gros œuvre sur la nef et le chœur s’achèvent en 1954. La réalisation de la flèche sera assurée, après sa mort en 1955, par son ancien élève, l’architecte André Remondet, Prix de Rome 1936.

Église Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus de Metz

Nom:  Église Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus de Metz
Construction: Début 1938 fin 1954
Histoire: Les travaux commencent en mai 1938. Le nouvel évêque de Metz, Joseph-Jean Heintz, bénit la première pierre le 9 octobre 1938. En avril 1939, les fondations de la nef sont achevées, mais la guerre interrompt le chantier de construction. Metz est d’autorité devenue une ville du Troisième Reich. Devant ce chantier inachevé, les autorités nazies projettent de démolir les parties basses, en béton armé, déjà coulées et laissées en attente. Le projet reste sans suite. Metz redevenue Française, les travaux reprennent en 1947, sous la conduite de Roger-Henri Expert. Les travaux de gros œuvre sur la nef et le chœur s’achèvent en 1954. La réalisation de la flèche sera assurée, après sa mort en 1955, par son ancien élève, l’architecte André Remondet, Prix de Rome 1936. L’édifice a la forme d’une carène renversée. Celle-ci s’arrondit en une abside semi-circulaire, que flanquent trois absidioles basses4. Elle mesure 78 m de long pour une hauteur de 30 m et 25 m de large. L’originalité de l’édifice tient à l’utilisation de portiques en béton armé décoffré. Seize piliers en béton décoffrés obliques (9°) se rejoignent par couples. 1 000 m² de vitraux claustras dus à Nicolas Untersteller illustrent la vie de sainte Thérèse et les activités de la région. L’édifice est consacré le 9 mai 1954 par Mgr Heintz. La flèche, un grand mât symbolisant un « bâton de pèlerin » de 70 mètres de haut, est érigée en 1963 par Remondet, donnant à l’édifice son aspect actuel.