Église Saint Maximin Metz Venez la découvrir

Église Saint Maximin Metz

Nom: Église Saint Maximin Metz
Construction: Début de la construction XIIe siècle Fin des travaux 1753
Histoire: L’église abrite les seuls vitraux connus dessinés par Jean Cocteau, avec ceux de la chapelle N.-D. de Jérusalem de Fréjus ; les vitraux sont mis en place à la fin des années 1960 d’après des cartons de 1962. L’œuvre vitrailliste réalisée par Jean Cocteau à Metz constitue sans conteste son dernier grand chef-d’œuvre, achevé pour l’essentiel à titre posthume, puisqu’il est décédé le 11 octobre 1963. C’est Edouard Dermit, son fils adoptif, et Jean Dedieu son cartonnier qui veilleront à la pleine exécution du projet dessiné par Jean Cocteau (en collaboration avec Raymond Moretti comme le relate Louis Nucera dans Cocteau-Moretti, l’Âge du Verseau, page 109). Création importante par le nombre des vitraux réalisés (quatorze baies représentant au total vingt-quatre fenêtres), mais aussi remarquable par son étonnante qualité artistique. Seule une visite bien élaborée permettra de décrypter cette œuvre autant énigmatique que sublime. L’orgue est construit en 1969 à partir de tuyauterie ancienne par la manufacture Haerpfer Erman et est inauguré en 1970 par Pierre Gazin. Il est composé de 2 claviers de 56 notes et un pédalier de 30 notes à transmissions mécaniques. En 2010, il est restauré par le facteur d’orgues Michel Gaillard de la manufacture Bernard Aubertin. Le Grand Orgue et la Pédale sont rapprochés du Positif de dos, et la transmission mécanique réaménagée. La tuyauterie est réharmonisée dans l’esprit d’un orgue baroque, un peu français, un peu allemand.

Église Saint Maximin Metz

Nom: Église Saint Maximin Metz
Construction: Début de la construction XIIe siècle Fin des travaux 1753
Histoire: L’église abrite les seuls vitraux connus dessinés par Jean Cocteau, avec ceux de la chapelle N.-D. de Jérusalem de Fréjus ; les vitraux sont mis en place à la fin des années 1960 d’après des cartons de 1962. L’œuvre vitrailliste réalisée par Jean Cocteau à Metz constitue sans conteste son dernier grand chef-d’œuvre, achevé pour l’essentiel à titre posthume, puisqu’il est décédé le 11 octobre 1963. C’est Edouard Dermit, son fils adoptif, et Jean Dedieu son cartonnier qui veilleront à la pleine exécution du projet dessiné par Jean Cocteau (en collaboration avec Raymond Moretti comme le relate Louis Nucera dans Cocteau-Moretti, l’Âge du Verseau, page 109). Création importante par le nombre des vitraux réalisés (quatorze baies représentant au total vingt-quatre fenêtres), mais aussi remarquable par son étonnante qualité artistique. Seule une visite bien élaborée permettra de décrypter cette œuvre autant énigmatique que sublime. L’orgue est construit en 1969 à partir de tuyauterie ancienne par la manufacture Haerpfer Erman et est inauguré en 1970 par Pierre Gazin. Il est composé de 2 claviers de 56 notes et un pédalier de 30 notes à transmissions mécaniques. En 2010, il est restauré par le facteur d’orgues Michel Gaillard de la manufacture Bernard Aubertin. Le Grand Orgue et la Pédale sont rapprochés du Positif de dos, et la transmission mécanique réaménagée. La tuyauterie est réharmonisée dans l’esprit d’un orgue baroque, un peu français, un peu allemand.