Non classé
Église Saint Étienne d’Hettange
Église Saint Étienne d'Hettange Venez la découvrir
Église Saint Étienne d'Hettange
Histoire:
L’église fut édifiée au XVIIIe siècle sur le Rocher, à l’emplacement de l’ancien château médiéval d’Hettange qui avait été pillé et détruit un siècle plus tôt par les Messins. La paroisse d’Hettange dépendait alors de Cattenom pour ce qui était des affaires religieuses.
Dès 1789, l’église subit de plein fouet l’époque troublée de la Révolution. Endommagée, délaissée, elle menaçait de s’effondrer. Elle était si dégradée que l’on ne pouvait plus sonner les cloches et que le toit avait perdu toute étanchéité. La construction d’un nouveau bâtiment alliant style gothique (par les vitraux et l’intérieur) et style roman (par la façade et la nef), débuta en 1834. En février 1835, l’architecte Derobe soumit ses plans à la municipalité. La construction coûta plus de 21 000 francs et s’acheva en 1839 par le surélèvement du clocher.
Cette nouvelle église ne fut pas laissée à l’abandon comme la précédente, grâce en partie à l’implication de la population (qui s’élevait alors à 1 049 habitants), fière de ce nouvel édifice, et devint peu à peu un lieu de culte actif. À partir des années 1870, l’église connut une histoire relativement mouvementée. Sous l’ère allemande (1870-1914), on enterra les habitants au pied du clocher avant de les déplacer vers le nouveau cimetière (les corps furent inhumés dans de nouvelles tombes et les anciennes pierres tombales furent ensuite récupérées et abandonnées jusque dans les années 1990 où on les réimplanta au pied du clocher en tant que patrimoine communal). En 1923, la façade fut flanquée d’un monument aux morts de la « Grande Guerre », monument qui fut détruit par les Allemands en 1940. En 1940, justement, les bombardements allemands détruisirent la toiture du clocher ; elle ne fut reconstruite qu’en 1944. Enfin, en 1990, un incendie se déclara à l’intérieur de l’édifice et abîma gravement une partie du chœur ainsi que l’orgue, dont les tuyaux fondirent sous l’effet de la chaleur.
Depuis, l’église a été entièrement restaurée et accueille de nombreux fidèles à chaque office. Hettange-Grande possède notamment une équipe paroissiale et une chorale très actives.
Église Saint Étienne d'Hettange
Histoire:
L’église fut édifiée au XVIIIe siècle sur le Rocher, à l’emplacement de l’ancien château médiéval d’Hettange qui avait été pillé et détruit un siècle plus tôt par les Messins. La paroisse d’Hettange dépendait alors de Cattenom pour ce qui était des affaires religieuses.
Dès 1789, l’église subit de plein fouet l’époque troublée de la Révolution. Endommagée, délaissée, elle menaçait de s’effondrer. Elle était si dégradée que l’on ne pouvait plus sonner les cloches et que le toit avait perdu toute étanchéité. La construction d’un nouveau bâtiment alliant style gothique (par les vitraux et l’intérieur) et style roman (par la façade et la nef), débuta en 1834. En février 1835, l’architecte Derobe soumit ses plans à la municipalité. La construction coûta plus de 21 000 francs et s’acheva en 1839 par le surélèvement du clocher.
Cette nouvelle église ne fut pas laissée à l’abandon comme la précédente, grâce en partie à l’implication de la population (qui s’élevait alors à 1 049 habitants), fière de ce nouvel édifice, et devint peu à peu un lieu de culte actif. À partir des années 1870, l’église connut une histoire relativement mouvementée. Sous l’ère allemande (1870-1914), on enterra les habitants au pied du clocher avant de les déplacer vers le nouveau cimetière (les corps furent inhumés dans de nouvelles tombes et les anciennes pierres tombales furent ensuite récupérées et abandonnées jusque dans les années 1990 où on les réimplanta au pied du clocher en tant que patrimoine communal). En 1923, la façade fut flanquée d’un monument aux morts de la « Grande Guerre », monument qui fut détruit par les Allemands en 1940. En 1940, justement, les bombardements allemands détruisirent la toiture du clocher ; elle ne fut reconstruite qu’en 1944. Enfin, en 1990, un incendie se déclara à l’intérieur de l’édifice et abîma gravement une partie du chœur ainsi que l’orgue, dont les tuyaux fondirent sous l’effet de la chaleur.
Depuis, l’église a été entièrement restaurée et accueille de nombreux fidèles à chaque office. Hettange-Grande possède notamment une équipe paroissiale et une chorale très actives.
Église Saint Maurice de Malroy
Église-Saint-Maurice-de-Malroy Venez la découvrir
Église-Saint-Maurice-de-Malroy
Histoire:
L’église Saint-Maurice était une petite chapelle médiévale, remaniée en 1863 avec le rehaussement du clocher et le renforcement du plafond de la nef. La première pierre a été bénie en 1764 par l’abbé Jobal, alors vicaire à l’église Sainte-Ségolène de Metz. « L’église de Malroy est l’un des rares édifices de la vallée de la Moselle à avoir échappé aux tirs de l’artillerie américaine en 1944, c’est pourquoi il a conservé la beauté de son cachet d’origine. »
Six très belles verrières et un chœur hémisphérique
La nef est éclairée par six magnifiques verrières réalisées par la famille Maréchal, dans les années 1869. Elles ont été faites selon une technique d’impression par phototypie. Elles sont restées intactes et sont d’une grande beauté.
Le chœur hémisphérique est couronné d’une voûte en croisée d’ogive, restaurée à merveille, puisqu’on peut voir désormais les dessins qui avaient été dissimulés durant de longues années. Le pourtour inférieur de ce chœur est habillé de boiseries Louis XV parfaitement entretenues.
Les trésors du clocher
Dans les années 1860, le clocher a été rehaussé et doté d’une flèche de douze mètres de hauteur. Il recèle, à l’intérieur, des trésors d’archéologie. L’étage inférieur de la tour sert aujourd’hui d’entrée à l’église et les deux parties adjacentes sont en fait la nef de la chapelle médiévale, construite en forme de croix grecque, au XIe siècle.
Hôpital de campagne pendant la guerre de 1870
« En visitant cet édifice, vous remarquerez que l’imposante pierre monolithe des anciens fonts baptismaux est conservée et enchâssée dans le mur, à droite de l’entrée », note Henri Poinsignon. « La particularité de cette église réside également dans le fait que le cimetière communal entoure l’édifice. Transformé en hôpital de campagne pendant la guerre de 1870, huit soldats reposent anonymement dans ce cimetière. »
Église-Saint-Maurice-de-Malroy
Histoire:
L’église Saint-Maurice était une petite chapelle médiévale, remaniée en 1863 avec le rehaussement du clocher et le renforcement du plafond de la nef. La première pierre a été bénie en 1764 par l’abbé Jobal, alors vicaire à l’église Sainte-Ségolène de Metz. « L’église de Malroy est l’un des rares édifices de la vallée de la Moselle à avoir échappé aux tirs de l’artillerie américaine en 1944, c’est pourquoi il a conservé la beauté de son cachet d’origine. »
Six très belles verrières et un chœur hémisphérique
La nef est éclairée par six magnifiques verrières réalisées par la famille Maréchal, dans les années 1869. Elles ont été faites selon une technique d’impression par phototypie. Elles sont restées intactes et sont d’une grande beauté.
Le chœur hémisphérique est couronné d’une voûte en croisée d’ogive, restaurée à merveille, puisqu’on peut voir désormais les dessins qui avaient été dissimulés durant de longues années. Le pourtour inférieur de ce chœur est habillé de boiseries Louis XV parfaitement entretenues.
Les trésors du clocher
Dans les années 1860, le clocher a été rehaussé et doté d’une flèche de douze mètres de hauteur. Il recèle, à l’intérieur, des trésors d’archéologie. L’étage inférieur de la tour sert aujourd’hui d’entrée à l’église et les deux parties adjacentes sont en fait la nef de la chapelle médiévale, construite en forme de croix grecque, au XIe siècle.
Hôpital de campagne pendant la guerre de 1870
« En visitant cet édifice, vous remarquerez que l’imposante pierre monolithe des anciens fonts baptismaux est conservée et enchâssée dans le mur, à droite de l’entrée », note Henri Poinsignon. « La particularité de cette église réside également dans le fait que le cimetière communal entoure l’édifice. Transformé en hôpital de campagne pendant la guerre de 1870, huit soldats reposent anonymement dans ce cimetière. »
Église Saint Martin de Retonfey
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Église Saint Martin de Retonfey
Histoire:
Église Saint-Martin : un premier édifice est construit vers le milieu du xiie siècle. Henri, comte de Salm fait donation de sa fondation à l’église Notre-Dame-la-Ronde (sise en la cathédrale de Metz) en 1189 à la veille de son départ en croisade. Il ne reste de cette église primitive que les deux tiers inférieurs du clocher de style roman. Le chœur et la nef actuels ont été édifiés entre 1769 et 1771 et orientés nord-sud perpendiculairement aux anciens. Ils sont restaurés dans leur état actuel à l’occasion d’importants travaux réalisés dans les dernières années du xixe siècle : la façade est remaniée en 1882. La nef, de forme « grange », peut contenir 400 personnes assises. Le plafond trilobé, en plâtre et stucs sur lattis et ossature de bois, est de très belle facture. Le 16 janvier 2004, des éléments se sont détachés de la voûte indiquant une fragilisation de cette dernière et entraînant la fermeture de l’édifice. Un chantier de restauration est entrepris grâce à l’aide financière des collectivités locales, de la fondation du patrimoine et de la population. Les premiers travaux de confortation permettent la réouverture de l’édifice pour Noël 2004. La restauration des boiseries reste à finaliser
Église Saint Martin de Retonfey
Histoire:
Église Saint-Martin : un premier édifice est construit vers le milieu du xiie siècle. Henri, comte de Salm fait donation de sa fondation à l’église Notre-Dame-la-Ronde (sise en la cathédrale de Metz) en 1189 à la veille de son départ en croisade. Il ne reste de cette église primitive que les deux tiers inférieurs du clocher de style roman. Le chœur et la nef actuels ont été édifiés entre 1769 et 1771 et orientés nord-sud perpendiculairement aux anciens. Ils sont restaurés dans leur état actuel à l’occasion d’importants travaux réalisés dans les dernières années du xixe siècle : la façade est remaniée en 1882. La nef, de forme « grange », peut contenir 400 personnes assises. Le plafond trilobé, en plâtre et stucs sur lattis et ossature de bois, est de très belle facture. Le 16 janvier 2004, des éléments se sont détachés de la voûte indiquant une fragilisation de cette dernière et entraînant la fermeture de l’édifice. Un chantier de restauration est entrepris grâce à l’aide financière des collectivités locales, de la fondation du patrimoine et de la population. Les premiers travaux de confortation permettent la réouverture de l’édifice pour Noël 2004. La restauration des boiseries reste à finaliser
Église Saint Germain de Delme
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Église Saint Germain de Delme
Histoire:
Le style néogothique de la construction de 1859 se retrouve à l’intérieur.
Les bas-côtés, la nef principale et le chœur sont voûtés de fines arêtes. Les baies sont hautes et ornées de vitraux de styles et d’époques différents. Plus colorés dans le chœur. Certains avec motifs traités en grisaille sont l’œuvre des ateliers Ott Frères de Strasbourg datés de 1923.
Le maître-autel et les autels dédiés à Notre-Dame des 7 Douleurs, à saint Nicolas, à saint Joseph et au Sacré-Cœur de Jésus sont en pierre sculptée. La chaire et le chemin de croix en bois sont aussi pourvus de flèches fleuronnées.
Les fonts baptismaux sont coiffés d’une statue de saint Jean-Baptiste. Ils sont flanqués à droite d’une Piéta et à gauche d’une statue de sainte Véronique tenant le linge imprimé de la Sainte Face du Christ.
Numéro du petit patrimoine : 57171_3
Église Saint Germain de Delme
Histoire:
Le style néogothique de la construction de 1859 se retrouve à l’intérieur.
Les bas-côtés, la nef principale et le chœur sont voûtés de fines arêtes. Les baies sont hautes et ornées de vitraux de styles et d’époques différents. Plus colorés dans le chœur. Certains avec motifs traités en grisaille sont l’œuvre des ateliers Ott Frères de Strasbourg datés de 1923.
Le maître-autel et les autels dédiés à Notre-Dame des 7 Douleurs, à saint Nicolas, à saint Joseph et au Sacré-Cœur de Jésus sont en pierre sculptée. La chaire et le chemin de croix en bois sont aussi pourvus de flèches fleuronnées.
Les fonts baptismaux sont coiffés d’une statue de saint Jean-Baptiste. Ils sont flanqués à droite d’une Piéta et à gauche d’une statue de sainte Véronique tenant le linge imprimé de la Sainte Face du Christ.
Numéro du petit patrimoine : 57171_3
Église Saint Marien à Vic sur Seille
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Église Saint Marien à Vic sur Seille
Histoire:
Mentionnée dès 849, l’église paroissiale de Vic a connu une histoire architecturale compliquée. Edifiée sur un ilôt de briquetage (lié à la fabrication protohistorique du sel) à l’emplacement d’un temple gallo-romain, (dédié à Minerve, Apollon et Mercure) l’église romane primitive a été reconstruite vers 1300 dans le style gothique. La tour-clocher a été reconstruite en 1882 dans le style néo-gothique. Le cimetière, primitivement contigü à l’église, a été translaté hors des murs en 1785. Concédée à l’abbaye de Gorze pour les évêques de Metz -qui avaient fait de Vic la capitale de leur Temporel (1228)- l’église est dédiée à Saint-Marien, dont l’hagiographie aurait en fait emprunté aux vies de différents saints plus ou moins légendaires. Un tympan rectangulaire, sculpté en 1308, dépeint avec talent des épisodes édifiants de la vie de plusieurs Saints Marien. Il est classé Monument Historique. Sur les murs extérieurs, de nombreuses épitaphes ont été martelées à la Révolution Française. L’intérieur est riche de nombreux objets classés Monuments Historiques. C’est ici que fut baptisé le peintre Georges de la Tour le 14 mars 1593. Entrée libre, visites guidées payantes à réserver auprès de l’office de tourisme du Pays du Saulnois au 03 87 01 16 26
Église Saint Marien à Vic sur Seille
Histoire:
Mentionnée dès 849, l’église paroissiale de Vic a connu une histoire architecturale compliquée. Edifiée sur un ilôt de briquetage (lié à la fabrication protohistorique du sel) à l’emplacement d’un temple gallo-romain, (dédié à Minerve, Apollon et Mercure) l’église romane primitive a été reconstruite vers 1300 dans le style gothique. La tour-clocher a été reconstruite en 1882 dans le style néo-gothique. Le cimetière, primitivement contigü à l’église, a été translaté hors des murs en 1785. Concédée à l’abbaye de Gorze pour les évêques de Metz -qui avaient fait de Vic la capitale de leur Temporel (1228)- l’église est dédiée à Saint-Marien, dont l’hagiographie aurait en fait emprunté aux vies de différents saints plus ou moins légendaires. Un tympan rectangulaire, sculpté en 1308, dépeint avec talent des épisodes édifiants de la vie de plusieurs Saints Marien. Il est classé Monument Historique. Sur les murs extérieurs, de nombreuses épitaphes ont été martelées à la Révolution Française. L’intérieur est riche de nombreux objets classés Monuments Historiques. C’est ici que fut baptisé le peintre Georges de la Tour le 14 mars 1593. Entrée libre, visites guidées payantes à réserver auprès de l’office de tourisme du Pays du Saulnois au 03 87 01 16 26
Église Saint Jean Baptiste de Château Salins
Église Saint Jean Baptiste de Château Salins Venez la découvrir
Église Saint Jean Baptiste de Château Salins
Histoire:
Cette église néo-gothique, plutôt sobre avec ses pinacles et ses jolies archivoltes a été construite de 1868 à 1893.
Le plan est classique avec un transept court et une nef de 6 travées, mais l’ornementation de la façade est intéressante.
Outre le tympan central où Jean-Baptiste baptise Jésus, surveillé par le colombe du St Esprit on voit:
à droite, la remise des clés par Jésus à St Pierre.
à gauche, St Martin, à cheval, partageant son manteau.
En 1793, suite au pillage de l’église de Château-Salins, l’orgue (1773) en vente de l’abbaye de Salival, à quelques kilomètres de là, est offert ou, selon une autre version, simplement entreposé dans l’église de Château-Salins et remonté en 1798. Cet orgue est replacé dans la nouvelle église de Château-Salins en 1872. Puis en moins de dix ans, l’orgue subit trois transformations par Joseph et Georges Cuvilier, Alexandre et Henri Jacquet et Jean Blesi pour remplir l’édifice plus vaste et mettre les registres au goût du jour. Il fut réduit au silence par les outrages de la Deuxième Guerre mondiale et est remplacé en 1960 par un orgue neuf construit par Haerpfer de Boulay dans le buffet du 18ème siècle. Devenu muet, un relevage est confié en 1995 à la manufacture Aubertin.
Église Saint Jean Baptiste de Château Salins
Histoire:
Cette église néo-gothique, plutôt sobre avec ses pinacles et ses jolies archivoltes a été construite de 1868 à 1893.
Le plan est classique avec un transept court et une nef de 6 travées, mais l’ornementation de la façade est intéressante.
Outre le tympan central où Jean-Baptiste baptise Jésus, surveillé par le colombe du St Esprit on voit:
à droite, la remise des clés par Jésus à St Pierre.
à gauche, St Martin, à cheval, partageant son manteau.
En 1793, suite au pillage de l’église de Château-Salins, l’orgue (1773) en vente de l’abbaye de Salival, à quelques kilomètres de là, est offert ou, selon une autre version, simplement entreposé dans l’église de Château-Salins et remonté en 1798. Cet orgue est replacé dans la nouvelle église de Château-Salins en 1872. Puis en moins de dix ans, l’orgue subit trois transformations par Joseph et Georges Cuvilier, Alexandre et Henri Jacquet et Jean Blesi pour remplir l’édifice plus vaste et mettre les registres au goût du jour. Il fut réduit au silence par les outrages de la Deuxième Guerre mondiale et est remplacé en 1960 par un orgue neuf construit par Haerpfer de Boulay dans le buffet du 18ème siècle. Devenu muet, un relevage est confié en 1995 à la manufacture Aubertin.
Basilique Notre Dame de Lourdes de Nancy
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Basilique Notre Dame de Lourdes de Nancy
Histoire:
La construction de la basilique fut décidée le 30 juillet 1908 par Charles-François Turinaz, évêque de Nancy, pour être le siège de la quatorzième paroisse nancéienne. Elle est située sur l’emplacement de l’ancienne chapelle des Frères de Saint-Charles.
Une lettre de Pie X, en date du 25 août 1908 félicite l’évêque pour cette décision.
La première pierre fut posée le 25 octobre 1908 et fut bénie par l’évêque Turinaz, qui a également béni les trois premières cloches de cette église le dimanche 13 décembre 1908.
Les fondations furent terminées à la fin de l’hiver 1909.
Le 2 juillet 1912, en la Fête de la Visitation, eut lieu l’inauguration solennelle de cette première partie de l’église, présidée par l’évêque Turinaz.
Les travaux furent grandement ralentis entre 1914 et 1918 du fait de la Première Guerre mondiale.
Le 16 mars 1924, la nef fut terminée. L’église fut consacrée solennellement le 2 juillet 1924 par Hippolyte-Marie de La Celle, évêque de Nancy.
Le portail fut terminé le 1er octobre 1925. La flèche fut inaugurée le 22 septembre 1929 et l’achèvement de l’édifice fut salué par un Te Deum. Les travaux ne prirent fin que plus tard : le ravalement de la flèche (sculpture) en 1931 et le narthex en 1933.
L’église avait été élevée au rang de basilique mineure le 26 juin 1925 par le pape Pie XI.
Basilique Notre Dame de Lourdes de Nancy
Histoire:
La construction de la basilique fut décidée le 30 juillet 1908 par Charles-François Turinaz, évêque de Nancy, pour être le siège de la quatorzième paroisse nancéienne. Elle est située sur l’emplacement de l’ancienne chapelle des Frères de Saint-Charles.
Une lettre de Pie X, en date du 25 août 1908 félicite l’évêque pour cette décision.
La première pierre fut posée le 25 octobre 1908 et fut bénie par l’évêque Turinaz, qui a également béni les trois premières cloches de cette église le dimanche 13 décembre 1908.
Les fondations furent terminées à la fin de l’hiver 1909.
Le 2 juillet 1912, en la Fête de la Visitation, eut lieu l’inauguration solennelle de cette première partie de l’église, présidée par l’évêque Turinaz.
Les travaux furent grandement ralentis entre 1914 et 1918 du fait de la Première Guerre mondiale.
Le 16 mars 1924, la nef fut terminée. L’église fut consacrée solennellement le 2 juillet 1924 par Hippolyte-Marie de La Celle, évêque de Nancy.
Le portail fut terminé le 1er octobre 1925. La flèche fut inaugurée le 22 septembre 1929 et l’achèvement de l’édifice fut salué par un Te Deum. Les travaux ne prirent fin que plus tard : le ravalement de la flèche (sculpture) en 1931 et le narthex en 1933.
L’église avait été élevée au rang de basilique mineure le 26 juin 1925 par le pape Pie XI.
Chapelle Notre Dame de la Salette à Sète
Chapelle-Notre-Dame-de-la-Salette-Sète Venez la découvrir
Chapelle-Notre-Dame-de-la-Salette-Sète
Histoire:
La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette est construite au sommet du Mont Saint-Clair, à l’emplacement de l’ancien fortin Montmorencette bâti par Louis XIII.
L’endroit, occupé par des hermites, fût dédié à Notre-Dame-de-la-Salette en 1864, 20 ans après son apparition dans les Alpes. A la même époque est institué le pélerinage mensuel à la chapelle, tous les 19 du mois.
La chapelle est prise en charge par les missionaires de la Salette au même moment. Signalons que la décoration intérieure, moderne, a été réalisée en 1952 par le peintre Bringuier.
Chapelle-Notre-Dame-de-la-Salette-Sète
Histoire:
La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette est construite au sommet du Mont Saint-Clair, à l’emplacement de l’ancien fortin Montmorencette bâti par Louis XIII.
L’endroit, occupé par des hermites, fût dédié à Notre-Dame-de-la-Salette en 1864, 20 ans après son apparition dans les Alpes. A la même époque est institué le pélerinage mensuel à la chapelle, tous les 19 du mois.
La chapelle est prise en charge par les missionaires de la Salette au même moment. Signalons que la décoration intérieure, moderne, a été réalisée en 1952 par le peintre Bringuier.
Basilique de Saint-Nicolas-de-Port
Basilique de Saint-Nicolas-de-Port Venez la découvrir
Basilique de Saint-Nicolas-de-Port
Histoire:
De style gothique flamboyant, elle est érigée aux xve et xvie siècles par René II, duc de Lorraine et de Bar, en action de grâce pour la victoire contre le duc de Bourgogne Charles le Téméraire, lors de la bataille de Nancy le 5 janvier 1477 qui a permis à la Lorraine ducale de rester indépendante.
En 1098, selon la tradition rapportée par un marin qui a participé à la translation, le chevalier lorrain Aubert de Varangéville aurait volé une phalange de Saint-Nicolas dans la basilique San Nicola de Bari et l’aurait rapportée en Lorraine à Saint-Nicolas-de-Port où elle devient un objet de pèlerinage nicolaïen majeur avec la traditionnelle procession1. Selon cette tradition il s’agit de l’os d’une phalange de la main droite de l’évêque. Il est conservé dans un bras reliquaire de la fin du xixe siècle en argent, or, émaux et diamantsnote 1. Une première église est consacrée au saint dès le début du xiie siècle.
Selon la légende, Cunon de Linange, sire de Réchicourt, un chevalier lorrain emprisonné vers 1240 lors de la sixième croisade aurait été miraculeusement libéré de sa geôle alors qu’il allait être exécuté. Après une prière d’intercession à Saint-Nicolas, il se serait endormi et aurait été transporté pendant son sommeil puis se serait réveillé sur le parvis de l’église lorraine de Saint-Nicolas-de-Port. Pendant la célébration de l’office qui suivit, les chaînes qui enserraient la taille et les membres du captif tombèrent d’elles-mêmes (ces chaînes sont censées avoir été sauvegardées et sont conservées dans un reliquaire en cuivre doré de la fin du xixe siècle). Le sire de Réchicourt ordonna qu’une procession ait lieu tous les ans, et on vit jusqu’à la Révolution une délégation des gens de Réchicourt lors de ces célébrations.
Rapidement le pèlerinage à Saint-Nicolas s’étend bien au-delà de la Lorraine et le saint est considéré comme le saint patron des Lorrains.
Une légende prétend que Jeanne d’Arc est venue se recueillir dans l’édifice précédant la basilique avant de partir porter son message au Dauphin de France. En réalité il est plus probable qu’elle soit passée à l’église Saint-Nicolas, afin d’y prier, après avoir rendu visite au duc Charles II de Lorraine alors très souffrant.
La construction de la basilique actuelle commence en 1481 en pierre calcaire blanche extraite des carrières de Viterne.
L’édifice est inauguré, presque achevé, en 1544, la façade en 1545 et enfin il est consacré en 1560 peu après que les deux tours-clochers, édifiées en 1544, aient reçu leurs premières coupoles de plomb.
Au cours de la guerre de Trente Ans, en novembre 1635, la basilique subit un grand incendie qui détruit la toiture et le mobilier et fait fondre le plomb de nombreux vitraux dont les verres s’effondrent. Noircies, bon nombre de peintures murales datant d’avant 1520 sont alors dissimulées sous un badigeon où elles sont redécouvertes lors de la restauration du xxe siècle.
Une nouvelle charpente en chêne est posée vers 1664 et les tours sont recouvertes en 1725 par des nouveaux dômes d’ardoise en forme de bulbes qui subsistent au début du xxie siècle.
En 1840, la basilique est inscrite sur la première liste des monuments historiques. Elle est consacrée basilique en 1950 par le Pape Pie XII.
Basilique de Saint-Nicolas-de-Port
Histoire:
De style gothique flamboyant, elle est érigée aux xve et xvie siècles par René II, duc de Lorraine et de Bar, en action de grâce pour la victoire contre le duc de Bourgogne Charles le Téméraire, lors de la bataille de Nancy le 5 janvier 1477 qui a permis à la Lorraine ducale de rester indépendante.
En 1098, selon la tradition rapportée par un marin qui a participé à la translation, le chevalier lorrain Aubert de Varangéville aurait volé une phalange de Saint-Nicolas dans la basilique San Nicola de Bari et l’aurait rapportée en Lorraine à Saint-Nicolas-de-Port où elle devient un objet de pèlerinage nicolaïen majeur avec la traditionnelle procession1. Selon cette tradition il s’agit de l’os d’une phalange de la main droite de l’évêque. Il est conservé dans un bras reliquaire de la fin du xixe siècle en argent, or, émaux et diamantsnote 1. Une première église est consacrée au saint dès le début du xiie siècle.
Selon la légende, Cunon de Linange, sire de Réchicourt, un chevalier lorrain emprisonné vers 1240 lors de la sixième croisade aurait été miraculeusement libéré de sa geôle alors qu’il allait être exécuté. Après une prière d’intercession à Saint-Nicolas, il se serait endormi et aurait été transporté pendant son sommeil puis se serait réveillé sur le parvis de l’église lorraine de Saint-Nicolas-de-Port. Pendant la célébration de l’office qui suivit, les chaînes qui enserraient la taille et les membres du captif tombèrent d’elles-mêmes (ces chaînes sont censées avoir été sauvegardées et sont conservées dans un reliquaire en cuivre doré de la fin du xixe siècle). Le sire de Réchicourt ordonna qu’une procession ait lieu tous les ans, et on vit jusqu’à la Révolution une délégation des gens de Réchicourt lors de ces célébrations.
Rapidement le pèlerinage à Saint-Nicolas s’étend bien au-delà de la Lorraine et le saint est considéré comme le saint patron des Lorrains.
Une légende prétend que Jeanne d’Arc est venue se recueillir dans l’édifice précédant la basilique avant de partir porter son message au Dauphin de France. En réalité il est plus probable qu’elle soit passée à l’église Saint-Nicolas, afin d’y prier, après avoir rendu visite au duc Charles II de Lorraine alors très souffrant.
La construction de la basilique actuelle commence en 1481 en pierre calcaire blanche extraite des carrières de Viterne.
L’édifice est inauguré, presque achevé, en 1544, la façade en 1545 et enfin il est consacré en 1560 peu après que les deux tours-clochers, édifiées en 1544, aient reçu leurs premières coupoles de plomb.
Au cours de la guerre de Trente Ans, en novembre 1635, la basilique subit un grand incendie qui détruit la toiture et le mobilier et fait fondre le plomb de nombreux vitraux dont les verres s’effondrent. Noircies, bon nombre de peintures murales datant d’avant 1520 sont alors dissimulées sous un badigeon où elles sont redécouvertes lors de la restauration du xxe siècle.
Une nouvelle charpente en chêne est posée vers 1664 et les tours sont recouvertes en 1725 par des nouveaux dômes d’ardoise en forme de bulbes qui subsistent au début du xxie siècle.
En 1840, la basilique est inscrite sur la première liste des monuments historiques. Elle est consacrée basilique en 1950 par le Pape Pie XII.