Collégiale Saint Étienne de Hombourg Haut Venez la découvrir

Collégiale Saint Étienne de Hombourg Haut

Nom: Collégiale Saint Étienne de Hombourg Haut
Construction: XIIIe siècle Fin des travaux: XVIIe siècle
Histoire: La construction de la collégiale Saint-Étienne fait suite à la fondation, en 1254, d’un collège de treize chanoines. Elle débute à la fin du xiiie siècle à l’emplacement vraisemblable de l‘ancienne église paroissiale dont la chapelle Saint-Nicolas serait le vestige. Un cloître était adjoint à la collégiale, mais il fut détruit par l’incendie de 1632 qui ravagea également la toiture de la collégiale. La collégiale est édifiée en grès des Vosges et couverte d’ardoises. En forme de croix latine, elle est composée d’une nef, bordée de bas-côtés, d’un transept, d’un chœur et flanquée de deux chapelles latérale : La chapelle de semaine, dédiée à Saint-Nicolas, qui est situé dans l’angle formée par le chœur et le bras sud du transept ; La chapelle dite des Bayer, le long du bas-côté sud. Les vitraux de la collégiale sont tous postérieurs à la Seconde Guerre mondiale, la plupart ayant été réalisés par l’artiste Jean-Henri Couturat en 1955. Seul le vitrail de la chapelle des Bayer date du XIXe siècle. La collégiale disposait très tôt dans son histoire d’un orgue disposé en tribune. L’orgue actuel fut construit en 1847 par Pierre Rivinach. Il fut agrandi en 1908 par la célèbre maison Dalstein-Haerpfer de Boulay. Il fut entièrement restauré en 1992 par Michel Gaillard de la manufacture d’orgues Aubertin. Une association des amis des orgues s’est constituée pour permettre cette restauration ; elle veille toujours à son entretien. Elle est présidée par l’organiste Philippe Delacour. L’instrument est utilisé pour le culte mais également fréquemment pour des concerts3. Il passe pour un des plus beaux orgues de l’est de la France.

Collégiale Saint Étienne de Hombourg Haut

Nom: Collégiale Saint Étienne de Hombourg Haut
Construction: XIIIe siècle Fin des travaux: XVIIe siècle
Histoire: La construction de la collégiale Saint-Étienne fait suite à la fondation, en 1254, d’un collège de treize chanoines. Elle débute à la fin du xiiie siècle à l’emplacement vraisemblable de l‘ancienne église paroissiale dont la chapelle Saint-Nicolas serait le vestige. Un cloître était adjoint à la collégiale, mais il fut détruit par l’incendie de 1632 qui ravagea également la toiture de la collégiale. La collégiale est édifiée en grès des Vosges et couverte d’ardoises. En forme de croix latine, elle est composée d’une nef, bordée de bas-côtés, d’un transept, d’un chœur et flanquée de deux chapelles latérale : La chapelle de semaine, dédiée à Saint-Nicolas, qui est situé dans l’angle formée par le chœur et le bras sud du transept ; La chapelle dite des Bayer, le long du bas-côté sud. Les vitraux de la collégiale sont tous postérieurs à la Seconde Guerre mondiale, la plupart ayant été réalisés par l’artiste Jean-Henri Couturat en 1955. Seul le vitrail de la chapelle des Bayer date du XIXe siècle. La collégiale disposait très tôt dans son histoire d’un orgue disposé en tribune. L’orgue actuel fut construit en 1847 par Pierre Rivinach. Il fut agrandi en 1908 par la célèbre maison Dalstein-Haerpfer de Boulay. Il fut entièrement restauré en 1992 par Michel Gaillard de la manufacture d’orgues Aubertin. Une association des amis des orgues s’est constituée pour permettre cette restauration ; elle veille toujours à son entretien. Elle est présidée par l’organiste Philippe Delacour. L’instrument est utilisé pour le culte mais également fréquemment pour des concerts3. Il passe pour un des plus beaux orgues de l’est de la France.