Basilique Notre Dame de Bon Secours de Saint Avold Venez la découvrir
Basilique Notre Dame de Bon Secours de Saint Avold
Nom:
Basilique Notre Dame de Bon Secours de Saint Avold
Construction: Début de la construction 1889
Fin des travaux 1902
Histoire:
Des moines bénédictins de l’abbaye de Saint-Avold se rendaient à leur ferme de Fürst en prenant le chemin de Walmen (Valmont). Un des moines aperçut une statue de la Vierge Marie dans un buisson près du chemin et la rapporta au couvent. Peu de temps après elle disparut. S’en retournant à la ferme de Fürst, il la retrouva dans ce buisson. De nouveau il la rapporta au couvent et elle disparut pour être retrouvée encore une fois dans le buisson. À la vue de la répétition de ce miracle, les moines décidèrent la construction d’une chapelle nommée Walmer Kapelle (chapelle de Valmont) à cet endroit. Cette chapelle est à l’origine de l’actuel sanctuaire, la basilique Notre-Dame de Bon Secours.
Une deuxième légende rapporte qu’une statue de la Vierge transportée de Saint-Avold à Valmont, une fois posée au bord du chemin, ne pouvait plus être ni déplacée ni soulevée, malgré les efforts de nombreuses personnes appelées en renfort. On y vit un signe du ciel et l’on décida la construction de la chapelle à cet endroit. Une première chapelle est érigée à cet endroit au xvie siècle, dédiée à Notre-Dame de Bon Secours. Elle est remplacée à la fin du xviie siècle par un édifice plus grand, construit par les Bénédictins, selon les plans de Vauban. Malgré les vicissitudes de la fureur révolutionnaire et la destruction de la chapelle en 1793, la statue de la Sainte Vierge est cachée par les fidèles. L’abbé Houllé, curé-archiprêtre de 1803 à 1841, nous apprend que l’oratoire est reconstruit sous le Concordat » par les soins des fidèles tant de la ville que des environs « . Ce dernier obtient de l’Évêché, le 5 août 1806, l’autorisation de bénir la chapelle et de procéder au retour en procession de la statue sauvée. C’est ainsi que le pèlerinage peut reprendre, tandis que l’édifice se dégrade progressivement.
La construction d’une nouvelle chapelle, accolée à la précédente, est entreprise fin 1889 par l’abbé Georges-Auguste Lemire, curé-archiprêtre de 1880 à 1906
Basilique Notre Dame de Bon Secours de Saint Avold
Nom:
Basilique Notre Dame de Bon Secours de Saint Avold
Construction: Début de la construction 1889
Fin des travaux 1902
Histoire:
Des moines bénédictins de l’abbaye de Saint-Avold se rendaient à leur ferme de Fürst en prenant le chemin de Walmen (Valmont). Un des moines aperçut une statue de la Vierge Marie dans un buisson près du chemin et la rapporta au couvent. Peu de temps après elle disparut. S’en retournant à la ferme de Fürst, il la retrouva dans ce buisson. De nouveau il la rapporta au couvent et elle disparut pour être retrouvée encore une fois dans le buisson. À la vue de la répétition de ce miracle, les moines décidèrent la construction d’une chapelle nommée Walmer Kapelle (chapelle de Valmont) à cet endroit. Cette chapelle est à l’origine de l’actuel sanctuaire, la basilique Notre-Dame de Bon Secours.
Une deuxième légende rapporte qu’une statue de la Vierge transportée de Saint-Avold à Valmont, une fois posée au bord du chemin, ne pouvait plus être ni déplacée ni soulevée, malgré les efforts de nombreuses personnes appelées en renfort. On y vit un signe du ciel et l’on décida la construction de la chapelle à cet endroit. Une première chapelle est érigée à cet endroit au xvie siècle, dédiée à Notre-Dame de Bon Secours. Elle est remplacée à la fin du xviie siècle par un édifice plus grand, construit par les Bénédictins, selon les plans de Vauban. Malgré les vicissitudes de la fureur révolutionnaire et la destruction de la chapelle en 1793, la statue de la Sainte Vierge est cachée par les fidèles. L’abbé Houllé, curé-archiprêtre de 1803 à 1841, nous apprend que l’oratoire est reconstruit sous le Concordat » par les soins des fidèles tant de la ville que des environs « . Ce dernier obtient de l’Évêché, le 5 août 1806, l’autorisation de bénir la chapelle et de procéder au retour en procession de la statue sauvée. C’est ainsi que le pèlerinage peut reprendre, tandis que l’édifice se dégrade progressivement.
La construction d’une nouvelle chapelle, accolée à la précédente, est entreprise fin 1889 par l’abbé Georges-Auguste Lemire, curé-archiprêtre de 1880 à 1906